Carlisle est né en 1640 à Londres.
En 1918 à Chicago, il sauve alors Edward Masen en le transformant en vampire, qui deviendra par la suite son fils adoptif.
En 1921, dans le Wisconsin, Carlisle sauve une jeune femme, Esmée Platt, qui vient de se jeter du haut d'une falaise suite à la mort de son bébé. Il la transforme à son tour et en tombe éperdument amoureux et ils se marieront.
En 1933, la famille de Carlisle s'agrandit par la suite, quand il "sauve" Rosalie Hale, puis Emmett rejoins sa famille grâce à Rosalie.
Alice et Jasper rejoindrons un peu plus tard sa famille.
Carlisle est un mari et un père heureux. Il joue un rôle très important dans la famille. Lorsqu'un de ses membres a besoin de conseils, Carlisle est le premier sollicité. Il est pourtant très influencé par son épouse.
(A vous de détailler son histoire…)

1m88 cheveux blond,les yeux :dorés/noirs un regard profond, mature, prévoyant, expressif, promettant à quiconque le croisera de s'y perdre dedans.Peau pâle, un menton carré, mais pas trop,Des épaules droites, une ligne irréprochable.On pourrait presque le juger de parfait.

Carlisle est quelqu'un de posé, de très calme et de chaleureux. Il sait se montrer sage, sérieux et prudent, dans la vie de tout les jours ou dans les situations les plus périlleuses. Sa seule priorité, c'est de protéger sa grande famille. Il fait preuve d'un amour, d'une grande tendresse, d'une charité et fait en sorte que chacun ai ce dont il a besoin. Il a fait preuve d'un courage,apprendre à maîtriser son instinct autrefois, et réussir à travailler chaque jours dans le sang sans être tenté.

Elle est devenue vampire grâce à Carlisle.
Suite à un mariage avec un homme violent et une grossesse, Esmé s’est enfuit afin d’offrir une vie meilleure à son futur enfant. Néanmoins son enfant perdra la vie peu de temps peu de temps après sa naissance, au bord du désespoir, Esmé décide de se jeter du haut d’une falaise…
Tout le monde la croyait morte et elle a donc était conduite à la morgue ou Carlisle la trouva et lui sauva la vie en lui offrant l’immortalité.
Depuis ce jour, ils sont ensemble et vivent avec leurs enfants adoptifs. Elle est très protectrice envers ses enfants et les calme souvent. Elle supporte très mal être séparée du reste de la famille. Esmée accueille très vite Bella dans la famille, et elle considère Bella comme un de ses "enfants".
Elle aime entendre Edward jouer du piano et composer. Elle déteste la violence et refuse de se battre. Elle s'interpose souvent durant les conflits de ses enfants.(A vous de détailler son histoire…)
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« Elle avait la même splendeur pâle que les autres. Quelque chose dans son visage en forme de cœur et les douces boucles caramel de ses cheveux me firent penser aux ingénues des films muets d'autrefois. Elle était mince, plus petit mais moins anguleuse que le reste de la famille. »
Ce passage extrait de Fascination décrit parfaitement Esmée.

Esmée est une femme courageuse et discrète, généreuse et douce. Elle est aimante de son mari et de ses enfants ‘adoptifs’ et les surprotège sans retenu. c’est grâce à cet amour maternel illimité que les Cullen sont aussi soudés ce qui leurs permet d’être plus forts et solidaires. Esmée est une femme posée et plutôt calme, c’est un aspect de sa personnalité.Elle s’ouvre assez facilement aux gens qu’elle apprécie et dévoile ainsi, son côté chaleureux.Sa générosité lui permet d’aider nombre de gens autour d’elle ; elle est reconnaissante envers les gens.

Un jour alors qu’il se promenait en forêt, il tomba sur un ours. Emmett qui fut effrayé s’enfuit en courant mais trop tard l’ours l'attaqua. Laissant Emmett presque mort. C’est à ce moment là que Rosalie le trouva le prit l’emmena jusque chez les Cullen.
Elle supplia Carlisle de sauver Emmett, ce qu'il fit. Emmett a eu le coup de foudre pour Rosalie, ils se marièrent quelques temps plus tard. Emmett ne se plaignait pas d'être un vampire. Au contraire il aimait ça. Durant un moment il tuera des humains jusqu’au moment ou il se rendra compte que cela l’écœure et qu’il devienne végétarien. Depuis ce jour il vit auprès de sa nouvelle famille…
(A vous de détailler son histoire…)

Emmett mesure 6pieds5 et est très bien bâti.Ses cheveux sont très foncés, presque noir et son visage est assez bien proportionné.Ses yeux peuvent varier du doré au noir selon son humeur.Il semble toutefois très sûr de lui-même et ça se remarque tout de suite.

Emmett Cullen lorsqu’on ne le connaît qu’en apparence. Lorsqu’on le regarde, on s’imagine souvent une grosse brute qui ne pense qu’aux bagarres et qui parle peu. Au contraire, Emmett est quelqu’un de très intelligent, même s’il peut s’avérer un peu trop impulsif, parfois.se fis à ses instincts et agi souvent sans réfléchir aux conséquences.Il n’a tout simplement pas peur de ses ennemis et n’hésiterait pas à attaquer le premier, surtout si ça peut protéger ceux qu’il aime.On peut facilement se confier à lui parce qu’à défaut de parler sans cesse, il a une écoute sans égale.....

Rosalie vient de la classe moyenne de la société. De sa vie humaine, elle a toujours mené une existence parfaite. Elle était fiancée à un homme merveilleux et à une semaine du mariage, par un soir d’avril, alors qu’elle rentrait chez elle, elle entendit des voix, des voix d’homme s saoules… L’un deux était son futur époux… Malheureusement, ce fut ce soir là que le conte de fée avait décidé de prendre fin…
En effet, ces hommes l’ont brutalisé et ont également abusé d’elle…
Lorsqu'ils eurent finit leur petit jeu qu'ils étaient les seuls à trouver amusant, ils partirent, la laissant seule et agonisante dans la rue...
Ce fut Carlisle et Edward qui la trouvèrent et décidèrent de la sauver. Carlisle voyait en elle une épouse pour Edward… Mais Edward et Rosalie se considèrent plus comme des frères et sœur. Un jour, elle trouva Emmett qui était gravement blessé, elle le ramena à Carlisle et il fut transformé. Depuis ce jour, Rose et Emmett ne se sont plus jamais quitté et vivent auprès de Carlisle et Esmé ainsi que de Jasper, Alice et Edward…
(A vous de détailler son histoire…)

Rosalie a une beauté incomparable. Elle est grande (5p9),elle est mince mais pas trop maigre. Elle a les cheveux blond doré naturels. Ses yeux varient selon sa faim. Ses sourcils sont complètement parfaits tout comme le reste de son visage. Elle a de jolies lèvres pulpeuses. Sa peau est pâle comme tout autre vampire.Lorsque quelqu'un la voit, il remarque automatiquement à quel point elle est magnifique.

Rosalie est très distante avec les autres membres de sa famille. Rose est très contrôlante et elle est sure d'elle.Elle est énormément méfiante envers tout les humains, voila pourquoi elle peut se montrer très jalouse et snob mais Rosalie est très gentille. Elle est amoureuse folle d'Emmet, elle l'adore et pour rien au monde elle ne l'échangerait. Elle est aussi très mystérieuse et même ses frères et sœurs n'arrivent pas à comprendre ses sentiments et ses attitudes.Elle n'est pas très chaleureuse et accueillante. Rosalie ne pense qu'à elle et rarement aux sentiments des autres. C'est là son plus grand défaut.

Je suis né en 1844 à Houston dans le Texas. À l’âge de 17 ans, la guerre de Sécession faisait rage et je fus contrains d’y participer. Puis je rencontrais Maria et ses compagnes. C’est elle qui me transforma. Elle créait une armée, et j’étais son arme favorite, car comme vous le savez, j’ai le pouvoir de manipuler les émotions d’autrui, et j’étais aussi un impressionnant combattant. Mais la haine, la souffrance, la peur des autres me pénétraient, c’était le cauchemar !

Je me sauvais de cette vie odieuse avec deux amis, Peter et Charlotte. Durant des dizaines d’années nous parcourûmes la campagne en nous nourrissant de sang humain. Nous ignorions à cette époque que l’on pouvait se nourrir autrement. Mais bientôt, cette seconde vie me parut presque aussi insupportable que la première, car je demeurais un meurtrier. Bah oui je ressentais toute la souffrance de mes victimes ça devenait un calvaire.
Je fis dès lors mon chemin seul, et c’est là que je rencontrais Alice. Ou plutôt qu’elle vint à moi. Cette adorable petite créature était l’ange de ma vie, je su que je ne pourrais jamais la quitter…
Ensuite nous nous incrustâmes chez les Cullens, qui furent notre famille. C’était le bonheur, ou presque, car ils m’aidèrent à me nourrir de sang animal ! Plus de meurtre, et une femme parfaite à mes côtés, le paradis !

Ensuite, bien plus tard, Edward rencontra Bella et l’histoire que vous savez se produisit. Entre deux, je faillis tuer ma belle sœur qui sentait horriblement bon. Chose que je ne me pardonnerais jamais, mais ce n’est pas le pire…

Mais racontons les choses dans l’ordre… Bella se maria, et mit au monde Nessie, notre adorable hybride, pour la sauver Edward se décida enfin à transformer son âme sœur. Les Volturis firent un petit passage éclair à Forks, mais nous pûmes détourner leur rage.
Ensuite, il se passa quelque chose de merveilleux : notre fille Olivia.
Nous avions finit pour la millième fois nos études, et nous rêvions, cette fois, comme depuis longtemps d’avoir un enfant, mais on savait que c’était impossible. Sauf qu’Alice eut la vision d’Olivia. Une hybride dans un orphelinat !

La petite, notre fille, ma fille, était superbe ! Nous construisîmes une maison et passons notre temps à veiller sur elle. Le bonheur !
Mais je n’avais tant changé… J’étais le même. Toujours mal au fond de moi, toujours sombre et dangereux.

Un jour que je chassais en forêt, je tombais sur un humain, randonneur, qui s’était blessé à la jambe. Je ne pu résister et je bu de son sang. Alice arriva à temps pour m’empêcher de le tuer. Mais le mal était fait. Puis elle avala le venin pour empêcher la transformation. Secoué, l’humain qui s’était cogné à la tête durant mes mauvais traitements ne se souvint que d’être tombé dans un ravin.

Quand je rentrais à la maison, dérouté, je vis Olivia. Certes, en tant qu’Hybride son sang était moins attirant qu’une humaine mais c’était tout de même du sang humain. Et pendant une fraction de seconde je voulu la boire.

Ce fut un cauchemar. Ma fille que j’aimais de toute mon âme ! J’étais un danger pour elle. J’écrivais une lettre à Alice pour la prier de me pardonner, même si ce que je m’apprêtais à faire était impardonnable, mais je préférais fuir plutôt que de mettre ma fille en péril. Ensuite, je me sauvais. Sans un au revoir. Je n’aurais pas su les revoir toutes les deux.
C’est là que commença ma nouvelle vie. Alice n’eut plus aucune nouvelle de moi, et personne au monde que j’avais connu ne sut ce que j’étais devenu. Mais voilà, je m’apprête à lever le mystère. Je suis devenu gogo-danseur ! Nan, j’déconne !

Et oui, je déconne vraiment, moi Jasper le Constipé, je suis capable de beaucoup d’humour dorénavant, mais laissez-moi vous expliquer pourquoi :
Après mon départ, je su que tout était finit. Je veux dire, sans Alice, sans Olivia, sans les Cullens, je n’avais plus de raisons de vivre. Et ma première idée fut la même qu’Edward en un autre temps : demander aux volturis de me tuer.

Mais ensuite, j’eu une autre idée. Alice m’avait changé, Olivia aussi. Je leur devais bien ça. Je leur devais d’essayer. Je devais savoir me sevrer totalement.
C’était mon but, si j’y parvenais alors j’aurais mérité le bonheur que m’a accordé les êtes aimés, si j’échouais, j’irais voir les Volturis et les provoquerais pour qu’ils me tuent.

C’est ainsi que commença mon long pèlerinage vers la rédemption lol. Je parcourais le monde en résistant au sang humain, en provoquant des situations où j’y serais confronté, mais en résistant à l’envie d’y succomber. Ce fut un calvaire, même si j’avais le visage d’Alice au fond du cœur pour me donner de la force, même si je pensais à ma fille adorée qui devait déjà grandir loin de moi, c’était très dur.

C’est là que j’arrivais au Japon. Ne me demandez pas pourquoi ni comment…
Mais ce voyage changea ma vie.
Alors que je marchais dans les montagnes superbes, réfléchissant au moyen de réussir ma quête, ou résistant à l’envie de me rendre direct chez les Volturis, un homme, un humain, se présenta à moi.

Il était très vieux, si vieux… que même son sang n’était pas tentant. Il me regarda, et n’eut pas une once de peur. Je su aussitôt qu’il savait qui j’étais, mieux, qu’il savait ce que je voulais.
Le vieux japonais plissa les yeux, si tenté qu’il fut capable de les plisser davantage, tant ses rides étaient nombreuses, puis il me demanda de le suivre.
Hébété, je m’exécutais.

Je pénétrais alors à sa suite dans une espèce de petite cabane qui sentait bon les plantes médicinales. Il s’assit en tailleur et je fis de même.
Il me regarda et parmi ses rides je vis qu’il souriait. Je ne dis rien. Il ne dit rien. Mais lentement je vis qu’il se concentrait, qu’il respirait profondément, qu’il était en pleine méditation, et lentement, je sentis un bonheur, une joie déferler en lui, qui me gagna.

Ce n’était pas vraiment de l’euphorie, genre l’euphorie que j’avais avec Alice parfois, non c’était un bien-être, un bien-être profond et parfait. Nous restâmes ainsi des heures, moi baigné dans sa force heureuse, lui créant de la paix.
Le soir tomba, la nuit passa, et le vieux sage ne bougeait pas. Je savais qu’il avait faim, qu’il avait soif, mais c’était un humain arrivé à un tel degré de méditation qu’il pouvait se passer de ces choses pendant longtemps.

Le lendemain, lors du levé du soleil, le vieil homme semblait encore mieux. Je compris qu’il adorait ce moment de la journée, qu’il le trouvait superbe.
Alors je me levais, sortis de la cabane, et regardais l’extérieur. C’était très beau. Les nuages bleus, roses, mauves sur cette grandiose montagne, sur ce vide dont l’ivresse me gagnait. Je m’étais jamais si senti si apaisé.

Je me tournais vers le vieux japonais qui avait quitté sa cabane et regardait l’aurore avec moi.
-Comment faites-vous ? demandai-je.
Il sourit et attendit un long moment avant de répondre. Le temps que le plaisir de cet instant nous inonde encore et encore, puis sa voix rauque s’anima :

-Chaque être vivant, les animaux, les plantes, la terre, chaque créature, à en soi la paix, la paix universelle. C’est une lumière avec laquelle nous naissons, et que nous ne pouvons pas perdre. Même la mort ne nous l’a prend pas. Mais par contre, les actes odieux, la peur et bien d’autres choses peuvent l’endormir. Tu n’as jamais été heureux, car tu n’as jamais su que la paix, c’était en toi qu’elle résidait.

-Je suis un vampire, répondis-je.

-Tu es un humain, un humain immortel. C’est différent.

Je réfléchis un instant puis je dis :

-Quand je suis avec ma femme, je suis heureux. C’est elle ma joie.

Après un court instant le vieillard me répondit :
-C’est faux. Ta femme est la joie. Mais ta joie à toi, ne s’était jamais exprimée.

Je mis un certains à comprendre. Il reprit :

-Tu n’as jamais été joyeux. Tu as souffert. Plus que tous, car tu à ce don…

-Vous voulez dire, répondis-je lentement, que toute ma vie j’ai souffert, même quand j’aurais pu être heureux avec ma femme, car j’ignorais être capable de créer ma propre joie ?

-Tu as toujours créé de la souffrance, car à travers les autres, en tuant, c’est l’émotion que tu as le plus connu. Tu n’as jamais su te protéger de ton don. Mais tu le peux. Tu peux toi-même, créer des émotions de paix profonde.

-Comment savez-vous tout cela ?

-Moi aussi, j’ai le don.

Il souriait et cela m’étonna.

-Mais vous êtes humain ?!

-Oui, comme toi.

J’étais persuadé qu’il n’était pas un vampire. Mais à bien y réfléchir, si son sang ne m’attirait pas, c’est peut-être parce qu’il était autre chose.

-Il y a bien des créatures en ce monde. Mais nous sommes tous les mêmes, ajouta le vieillard avec un sourire.

-Que dois-je faire ? demandai-je en sachant qu’il ne m’en dirait pas plus sur lui.

-Délivrer ton cœur, apprendre à être heureux avec toi-même. Ensuite, tout sera facile. Tout sera logique.

C’est ce que je fis, je passais des mois en compagnie du vieillard pour apprendre à délivrer la paix en moi. Ce fut difficile, car mon cœur de glace, figé dans ma poitrine ne répondait plus. Mais peu à peu, une sorte de chaleur revint. Des heures, des heures et des heures de méditation me ramenait à mes émotions d’humain. Je revis en flash beaucoup de choses de mon enfance, c’était là qu’était enterrée ma joie. Des moments où j’étais pleinement humain et où je me sentais en paix.

Mais c’était facile d’être en paix avec un vieillard parfaitement serein et joyeux, pour mesurer mes progrès je devais rencontrer d’autres personnes. Le vieillard m’y invita. Une fois par semaine, je descendais dans les villes du japon. Je me mêlais aux humains. L’exercice était simple : je devais tout en écoutant les émotions des gens, garder ma joie, mon bonheur, ne pas laisser leur tristesse, leur peur, me pénétrer.

Ce fut très dur. Parfois j’échouais, et je revenais auprès du vieillard pour reprendre ma dose de calme. Mais après, des mois, qui devinrent des années. Je fus prêt. Les humains, leurs émotions, ne m’atteignaient plus, bien que j’étais capable de les sentir. C’était comme d’ouvrir un magazine, je les feuilletais sans me troubler de ce qui j’y apprenais. Le pied !
Ma soif, elle aussi avait changé. Comme le vieillard qui arrivait à se passer de nourriture pendant longtemps, je pouvais ne plus chasser pendant des mois. Et je réalisais que je ne m’étais pas entrainé à ne plus boire les humains, je m’étais juste entrainé à être joyeux. À être en paix, et cela avait suffit.

Un jour que je revenais voir le vieux sage, je trouvais sa cabane vide, il y avait juste un mot par terre « Tu es prêt. Retrouve ta famille. ».
J’eus un instant de peine en me disant que je ne reverrais plus mon mentor. Mais la joie me submergea à nouveau, j’étais pour la première fois de ma vie, sortie de ma dépression, j’étais heureux.
Me refusant à le quitter sans un remerciement, j’allais en ville, j’achetais un délicieux plat typique et j’allais le déposer dans la cabane. Ensuite, je regardais une derrière fois la vue imprenable, je remerciais ce pays de m’avoir sauvé, puis je me sauvais.

Je revins aussitôt à Forks. Je savais qu’Alice, mon âme sœur, pouvait très bien avoir refait sa vie. Les Cullens étaient là, mais pas ma fille, ni ma femme. Je demandais où était Alice. Sur une île, partie assister à un mariage…

Rien n’obligerait Alice à me reprendre. Je savais cependant que si elle acceptait : je serais l’homme le plus heureux, le plus joyeux du monde. Je serais dans un bonheur suprême. Si elle refusait, je serais peiné. Mais ensuite, je ferais le bien, à chaque seconde, et je serais en paix, car désormais, j’avais apprit à être en paix avec moi-même et avec l’univers.
Quoiqu’il en soit, je partis pour l’île, décidé à tout faire pour récupérer mon Alice, l’amour de ma vie, et ma fille.

Autrefois Jasper était un être taciturne, qui riait rarement à cause des horreurs vécues, qui souffrait perpétuellement et n’était pas capable d’évacuer les souffrances des gens qui l’entouraient. Pourquoi ? Parce qu’étant humain il était très sensible, et très attentif aux besoins des autres. Une fois transformé, cette qualité devint un pouvoir qui, avec les horreurs commises, le détruisit peu à peu. Même sa femme et sa fille ne parvinrent pas à ranimer ce que son pouvoir avait asphyxiait de bonheur en lui.
La soif, la difficulté de résister au sang humain n’était qu’une des causes de cette souffrance, de cette impossibilité à maitriser ses propres émotions, alors qu’il excellait tant dans la maitrise de celles des autres.
Puis, comme vous venez de le lire, Jasper à fait une sorte de voyage initiatique. Qui a commencé (comme toute gestion de changement), par un grand sacrifice : abandonner sa femme et sa fille.
Le vieux sage japonais, dont on ignore la nature, a réussi pendant ces quelques années (3 un truc comme ça) à changer en profondeur Jasper, juste en lui apprenant qu’il était capable de créer de la joie, de faire le bien. Jasper ignorait qu’il pouvait s’en sortir tout seul. Il ignorait que la solution pouvait provenir de l’intérieur de son cœur figé.
(Grande aparté : Ce voyage, ce changement profond, je ne l’ai pas inventé, mais je me suis inspirée de livres tels que « L’homme qui voulait être heureux », « Dieu voyage toujours incognito », « Cessez d’être gentil, soyez vrais » c’est également dans la veine de « Mange, prie, aime ». Chacun de ces bouquins apprennent que la solution vient de l’intérieur de nous. Et c’est libérateur de le savoir. Passer d’un état dépressif comme l’était Jasper, à un état de bien-être comme il le sera désormais, c’est possible ! Ce n’est pas que de la fiction, même si, parce qu’il est vampire, j’ai adapté… Et Jasper, de part son pouvoir, et d’autres choses, et unique, comme chacun !)
Bref, j’impose cette longue description pour celui qui prendra le rôle de Jasper car j’espère qu’il comprendra que notre personnage autrefois taciturne a subit un grand changement.
Je ne vous demande pas de le jouer comme un Alice au masculin. Jasper reste un mec calme et posé. Cependant, il n’est plus triste, replié sur lui-même. Il est désormais heureux, en paix au fond de lui.
Même si Alice ne le reprend pas, Jasper et dorénavant ouvert au monde, ouvert au bonheur. Par exemple, s’il se retrouve seul, dans un rp, il regardera la nature, et méditera. Il ne se laissera pas dévorer par ses peurs et ses remords.
C’est le personnage qui a le plus de qualité morales dans le livre de Stephanie Mayer, car c’est son don : l’empathie, il adore aider les autres. Mais il ne pouvait pas le faire pleinement tant qu’il était si mal.
Désormais, Jasper est romantique, attentif aux autres, très optimiste, patient, serein, amoureux de la nature, des paysages, de la beauté sous toutes ses formes, paternel, amical, confiant.
Bien sûr, s’il arrive des choses tristes, Jasper ressentira du chagrin, même de la colère, ne vous forcez pas à en faire une puce électrique tout le temps, Jasper est très humain en fin de compte, malgré la douleur, il saura toujours rebondir. Il aura ses moments de tristesse, mais sera toujours là pour trouver une solution et consoler les autres.
En fin de compte, il sera enfin lui-même, c'est-à-dire, un être merveilleux, et c’est en étant lui-même qu’il pourra reconquérir la femme sa vie.

(Conseil pour les avatars : prenez des avatars où l’acteur est joyeux, et beau. Blond ou brun ça n’a pas d’importance.)
Note : si vous avez des questions sur le caractère où l’histoire de Jasper, n’hésitez pas à joindre Daren Dreams par mp. Mais surtout pas de panique, jouez un personnage serein sans prise de tête, on ne vous demande pas de parler de psychologie dans les rps…

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